Bonne Fêtes

Rédigé par Sylvie - -

                                         Bonne fêtes a tous.

       REPRISE DES COURS LE 6 JUIN 2020

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Bien manger!

Rédigé par Sylvie - -
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La « junk-food » ou «malbouffe » : quels effets ?

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La « junk-food » ou «malbouffe » :
quels effets ?

Le terme de « junk-food » est apparu récemment dans le vocabulaire des français, notamment chez les plus jeunes. Ce terme anglais désigne la « malbouffe », c’est-à-dire des aliments de mauvaise qualité, tant nutritionnelle que sanitaire.

Quels sont les dangers et les précautions à prendre ?

La junk-food désigne une alimentation de piètre qualité, souvent préparée et transformée par des procédées qui l’appauvrissent en nutriments et micronutriments essentiels.

Souvent riche en graisses et en sucre, la malbouffe comprend également de nombreux additifs, présents à la fois pour la conservation mais également en tant qu’exhausteurs de goûts, pour contrebalancer la perte de saveur due aux processus de transformation.

En ligne de mire, la restauration rapide et les snacks ultra transformés : pizza, hamburgers, paninis, chips, sodas…

Souvent disponible à prix abordable, la malbouffe a gagné du terrain notamment auprès des plus jeunes.

Rapidité, accessibilité et goût caractéristique conçu pour séduire (un savant mélange de gras et de sucre, dont notre cerveau raffole) forme un combo gagnant pour nous faire tomber dans le piège de la junk-food.

En nutrition, aucun aliment n’est mauvais en soi, tout étant dépendant de la fréquence de consommation et de la quantité consommée.
De ce fait, manger exceptionnellement de la junk-food n’est pas à blâmer. La méfiance s’impose vis-à-vis de la régularité de la consommation, qui peut rapidement entraîner une dégradation de l’état nutritionnel, et de l’état de santé en général.

Consommée régulièrement, la malbouffe a des effets délétères sur la santé. En effet, des études montrent le lien entre ce type d’alimentation de mauvaise qualité et le développement de pathologies telles que l’obésité, le diabète, les maladies cardio-vasculaires ainsi que la dépression.

En effet, la pauvreté en micronutriments engendre des carences nutritionnelles qui vont perturber l’équilibre de l’organisme, et la forte teneur en sucre va favoriser le développement du diabète dit de « type 2 » en réduisant l’efficacité d’une hormone essentielle dans la régulation de la glycémie : l’insuline.

Enfin, l’effet de l’excès de graisses, notamment des graisses dîtes « trans », n’est plus à démontrer sur la prévalence des accidents cardio-vasculaires.

Des stratagèmes existent pour limiter l’impact négatif de la junk-food :

– Par exemple, accompagner son hamburger d’une petite salade plutôt que de frites
– Eviter les sauces
– Eviter les sodas, très riches en sucres
– Profiter des alternatives, de plus en plus représentées : burger végétarien, par exemple.

Lorsque cela est possible, il est conseillé de privilégier des snacks « fait maison » et le jour-même, en allant par exemple dans une boulangerie plutôt que dans un lieu de restauration rapide.

Le saviez-vous ?

Le modèle alimentaire pouvant être consommé de façon quotidienne et sans limitation est celui dit méditerranéen, reposant sur une consommation de végétaux (fruits et légumes), de légumineuses (lentilles, pois, haricots secs…), d’huile d’olive, de noix, de poissons gras…et de vin rouge avec modération !

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