Un événement fédéral
Rédigé par Sylvie - -
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Le saviez-vous ? Elle réduit le risque de maladies, aide à garder un corps sain, est bénéfique…
L’activité physique réduit le risque de cardiopathie coronarienne et d’accident vasculaire cérébral (AVC), de diabète, d’hypertension, de différents types de cancer, dont le cancer du sein et du côlon, et le risque de dépression. L’activité physique est également cruciale pour l’équilibre énergétique et contribue à la régulation du poids.
Les personnes physiquement actives :
· Améliorent leur musculature et leurs capacités cardiorespiratoires,
· Améliorent leur santé osseuse et leurs capacités fonctionnelles,
· Sont moins sujettes aux cardiopathies coronariennes, à l’hypertension artérielle, à l’AVC, au diabète, au
cancer (y compris le cancer du sein et du côlon) et à la dépression,
· Risquent moins de tomber et de se fracturer la hanche ou les vertèbres,
· Risquent moins de prendre du poids.
Par
activité physique, on entend tout mouvement corporel produit par
l’action des muscles squelettiques qui entraîne une dépense d’énergie.
Il s’agit du sport, de l’exercice et d’autres activités telles que le
jeu, la marche, l’accomplissement de tâches ménagères, le jardinage ou
la danse.
Toute activité
physique, que ce soit pour le travail, pour se déplacer (à pied ou à
bicyclette) ou pour les loisirs, a des effets bénéfiques sur la santé.
L’intensité désigne le rythme auquel l’activité est pratiquée. C’est le degré d’effort physique déployé par une personne pour pratiquer une activité. L’intensité de différentes formes d’activité physique varie selon les personnes. Néanmoins, la marche rapide, la danse ou les tâches ménagères correspondent généralement à une activité physique d’intensité modérée. Parmi les exemples d’activité physique d’intensité soutenue, citons la course, le vélo à un rythme rapide, la nage rapide ou le port de lourdes charges.
Les jeunes âgés de 5 à 17 ans doivent pratiquer une activité physique d’intensité modérée à soutenue pendant au moins 60 minutes chaque jour. La pratique d’une activité physique pendant plus de 60 minutes par jour sera encore plus bénéfique pour leur santé.
Les adultes âgés de 18 à 64 ans doivent pratiquer une activité physique d’intensité modérée pendant au moins 2 heures 30 chaque semaine ou une activité physique d’intensité soutenue pendant au moins 1 heure 15, ou une combinaison équivalente d’activité d’intensité modérée et soutenue. Pour avoir des effets positifs sur la santé cardiorespiratoire, toute activité physique doit être pratiquée pendant des laps de temps d’au moins 10 minutes.
Les principales recommandations sont les mêmes pour les adultes et les personnes âgées.
Les
personnes âgées dont la mobilité est réduite doivent pratiquer une
activité physique au moins 3 jours par semaine pour avoir un meilleur
équilibre et prévenir les chutes. Lorsque leur état de santé les empêche
d’avoir une activité physique dans la mesure recommandée, les personnes
âgées doivent être physiquement aussi actives que leurs capacités et
leur état le permettent.
Sauf contre-indication médicale, les recommandations de l’OMS s’appliquent à toutes et tous. Ces recommandations s’appliquent aussi aux personnes atteintes de maladies non transmissibles chroniques, sans lien avec la mobilité comme l’hypertension ou le diabète.
Les
personnes sédentaires devraient commencer par pratiquer une activité
physique pendant un laps de temps réduit tous les jours, puis en
augmenter progressivement la durée, la fréquence et l’intensité.
Les
adultes sédentaires, les personnes âgées et celles qui sont limitées
par une affection retireront des bienfaits supplémentaires d’une plus
grande activité physique.
Les
femmes enceintes ou qui viennent d’accoucher et les personnes souffrant
d’une affection cardiaque peuvent devoir prendre des précautions
supplémentaires et obtenir l’avis d’un médecin avant de pratiquer le
degré d’activité physique recommandé.
Les
politiques en matière d’urbanisme et d’environnement peuvent énormément
contribuer à rendre la population plus active physiquement. Ces
politiques doivent notamment garantir que :
· La marche, le vélo et les autres formes de déplacement actif sont accessibles et praticables en toute sécurité,
· Les politiques applicables à l’environnement professionnel et au lieu de travail encouragent l’activité physique,
·
Les écoles disposent d’espaces et d’installations sécurisées permettant
aux élèves d’avoir une activité physique pendant leur temps libre,
· Les installations sportives et de loisir offrent des possibilités d’être actif physiquement.
Aussi douloureuse soit-elle, la lombalgie n’est pas grave et le meilleur moyen de la soigner, c’est de bouger !
Le mal de dos est un mal fréquent : 93% des personnes interrogées, par BVA pour l’Assurance Maladie, déclarent avoir déjà eu des problèmes de dos principalement localisés, pour 81% d’entre elles, au niveau des lombaires. La lombalgie touche tous les groupes d’âge avec une plus grande prévalence chez les 40-60 ans.
Deux idées reçues
Ce
mal de dos est aussi associé à certaines croyances… La première : 1
personne sur 4 (24%) considère la lombalgie comme étant un problème
grave. Cette perception de la gravité est fortement corrélée à
l’intensité de la douleur ressentie.
Deuxième croyance : le repos reste fortement ancré dans l’opinion, avec près de 7 personnes sur 10 (68%) considérant qu’il est le meilleur remède contre la lombalgie. Pour certains, la lombalgie peut même empêcher l’activité physique : ainsi, 35% des Français affirment qu’« en cas de lombalgie, on ne peut pas faire d’activité physique ». Une personne sur 4 pense également qu’on ne peut pas travailler.
Le cercle vicieux de la lombalgie
« Lorsque le patient lombalgique souffre, cette souffrance peut générer une peur, reconnaît le Dr Violaine Foltz, médecin rhumatologue à la Pitié-Salpêtrière (Paris).
Associée à des croyances très répandues et à ce qu’il peut entendre ou
lire, il ne bouge plus. Le problème c’est que la douleur s’installe
d’autant plus qu’il n’est plus mobile. »
Bouger, rester actif…
Maintenir
une activité, même modeste, est la meilleure voie vers la guérison. En
effet, la douleur n’est pas synonyme de gravité et le repos retarde la
guérison. Une lombalgie, c’est souvent très douloureux mais ce n’est pas
grave. En général, ces douleurs disparaissent spontanément au bout de
quelques jours : 90% des lombalgies guérissent spontanément en moins de 4
à 6 semaines.
Par ailleurs, le repos n’est pas une solution thérapeutique : seul le mouvement entretient la tonicité musculaire, la force ligamentaire et permet de lutter contre la lombalgie et sa chronicisation. Vous l’aurez compris : le bon traitement, c’est le mouvement !
Le bicarbonate est un produit multi-usage, très économique. Véritable allié pour la prévention des risques à domicile, son efficacité permet de l’utiliser pour le ménage, l’entretien du linge et de la vaisselle. Mais comment l’utiliser ? Quels sont ses avantages ?
L’utilisation de produits ménagers de façon prolongée peut provoquer des irritations, des brûlures et des intoxications.
Le bicarbonate de soude (hydrogénocarbonate de sodium) contribue à réduire les risques liés à l’utilisation des produits ménagers car il est peu dangereux, non inflammable, biodégradable et ne provoque pas d’allergie. Nous vous invitons à l’utiliser et à sensibiliser les employeurs particuliers pour le mettre à votre disposition.
Le bicarbonate de soude (hydrogénocarbonate de sodium) est une poudre granuleuse fine, naturelle, blanche. Il en existe plusieurs types. Pour les tâches ménagères, c’est le bicarbonate de soude technique qui doit être utilisé, avec quelques usages concrets :
Attention, comme pour tous produits ménagers, même si le bicarbonate de soude est peu dangereux, il est conseillé de porter des gants lors de sa manipulation.
Les écogestes à adopter en 2020 |
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Les déchets peuvent avoir des impacts sur la santé et sur l’environnement.
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